dimanche 9 décembre 2007

chant funèbre et pleureuses

































par Mary Shelley
(traduction A. Fontainas)


Vent rude, tu te lamentes tout haut
D'une peine trop triste pour le chant ;
Vent sauvage, quand la nuée maussade
Sonne le glas au long de la nuit ;
Bois dénudés, dont les branches sont ternes,
Grottes profondes et onde lugubre,

Gémissez sur le mal du monde !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ces sculptures sont magnifiques et ton blog est très beau. Continue comme ça.